Le soleil dans l'imaginaire cinématographique

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Depuis les débuts du cinéma, le soleil y occupe une place centrale comme outil visuel et narratif. Source lumineuse primordiale, il structure le temps filmique, rythme la narration et porte des symboliques multiples : le lever évoquant l'espoir et le renouveau, le coucher signalant la mélancolie ou la fin d'une époque. Cette conférence explorera comment les cinéastes transforment le soleil en langage cinématographique complexe. De l'heure dorée transcendante de Terrence Malick dans Days of Heaven (1978) à l'œil cosmique témoin de la création dans The Tree of Life (2011), en passant par l'astre mourant de Sunshine (2007) de Danny Boyle, le soleil devient tour à tour illumination spirituelle ou menace existentielle. Le soleil du désert se fait acteur dramatique chez David Lean (Lawrence of Arabia, 1962), où la chaleur aveuglante devient épreuve physique et psychique, tandis que George Miller le transforme en force hostile dans Mad Max: Fury Road (2015). Métaphore du pouvoir dans Apocalypse Now (1979), où Coppola fusionne soleil levant et feu de napalm en une iconographie de la folie, il devient chez Kurosawa (Rashomon, 1950) lumière filtrée symbolisant la vérité fragmentée. Son absence définit le film noir, tandis que les dystopies modernes comme Blade Runner 2049 (2017) voilent le soleil derrière le smog d'un monde agonisant. Du soleil blême nordique de Bergman (Le Septième Sceau, 1957) à l'astre artificiel de Tarkovski surplombant l'océan de Solaris (1972), cette conférence révèlera comment le soleil, entre glorification romantique et vision apocalyptique, demeure l'un des motifs les plus polyvalents de l'histoire du cinéma.


Bon à savoir

Conférence organisée dans le cadre de l'exposition Here Comes the Sun: Art, énergie et intelligence naturelle. Entrée libre, inscription requise.


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  • 2026-02-26 18:00:00 2026-02-26 19:30:00 Europe/Paris Le soleil dans l'imaginaire cinématographique Depuis les débuts du cinéma, le soleil y occupe une place centrale comme outil visuel et narratif. Source lumineuse primordiale, il structure le temps filmique, rythme la narration et porte des symboliques multiples : le lever évoquant l'espoir et le renouveau, le coucher signalant la mélancolie ou la fin d'une époque. Cette conférence explorera comment les cinéastes transforment le soleil en langage cinématographique complexe. De l'heure dorée transcendante de Terrence Malick dans Days of Heaven (1978) à l'œil cosmique témoin de la création dans The Tree of Life (2011), en passant par l'astre mourant de Sunshine (2007) de Danny Boyle, le soleil devient tour à tour illumination spirituelle ou menace existentielle. Le soleil du désert se fait acteur dramatique chez David Lean (Lawrence of Arabia, 1962), où la chaleur aveuglante devient épreuve physique et psychique, tandis que George Miller le transforme en force hostile dans Mad Max: Fury Road (2015). Métaphore du pouvoir dans Apocalypse Now (1979), où Coppola fusionne soleil levant et feu de napalm en une iconographie de la folie, il devient chez Kurosawa (Rashomon, 1950) lumière filtrée symbolisant la vérité fragmentée. Son absence définit le film noir, tandis que les dystopies modernes comme Blade Runner 2049 (2017) voilent le soleil derrière le smog d'un monde agonisant. Du soleil blême nordique de Bergman (Le Septième Sceau, 1957) à l'astre artificiel de Tarkovski surplombant l'océan de Solaris (1972), cette conférence révèlera comment le soleil, entre glorification romantique et vision apocalyptique, demeure l'un des motifs les plus polyvalents de l'histoire du cinéma. Pl. d'Armes, 1648 Ville-Haute Luxembourg Cercle Cité
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